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La Journée internationale des droits de la femme observée à l’Arcep 

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Libreville, 08 mars 2024 (AGP) – Les femmes de l’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (ARCEP), ont célébré, ce 8 mars 2024 à Libreville, la Journée internationale des droits de la femme, en présence de quelques membres du gouvernement de la Transition et de la représentante de la Première dame, Djeinabou Emmanuela Ogombe Mbadinga, a-t-on constaté. 

Le thème retenu cette année «investir en faveur des femmes : accélérer le rythme», interpelle les gouvernants à adopter les politiques et des lois favorables à l’égalité de sexes et à la protection des droits des femmes.

A fin de participer à la réflexion sur le statut de la femme, l’Arcep qui enregistre 32 % de femmes occupant les postes de responsabilités, s’est mobilisé, ce jour, afin d’échanger sur les sous-thèmes de la place de la femme dans l’économie numérique et l’après-salariat.

«Ces deux axes de réflexion insisteront, aussi bien sur l’intelligence de la femme et sa capacité à entreprendre dans le monde du plus en plus compétitif. (…) L’Arcep, pour sa part, poursuit ses efforts pour leur donner encore plus de visibilité», a indiqué le président de l’Arcep, Celestin Kadjidja.

Pour la représentante de la Première dame, Zita Oligui Nguema, il est temps d’accélérer le rythme de manière collective.

«L’heure n’est plus aux promesses, mais à l’action afin de faire en sorte que chaque femme, indépendamment de son origine, de sa classe sociale, de son âge, ou de sa profession, ait accès aux ressources nécessaires pour réaliser ses rêves. Il est donc impératif que cet appel à l’action, en faveur des droits des femmes, ne se limite pas à une journée, mais que chaque jour soit une opportunité d’avancer, d’accélérer le rythme vers une égalité non plus utopique mais réelle», a fait savoir, Djeinabou Emmanuella Ogombe Mbadinga.

Pour rappel, la Journée internationale des droits de la femme a été instaurée en 1910 suite à la marche des ouvrières à New York en 1857 pour réclamer le même traitement que les tailleurs.

Au Gabon, c’est en 1982 que le pays a ratifié la convention sur l’élimination de toute forme de discrimination à l’égard des femmes avant de rentrer en vigueur le 21 janvier 1983.

FA/CBO/FSS 

 

 

 

 

 

 

 

Chancelle BIKET ONANGA

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