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Rentrée administrative : chefs d’établissements et personnels en poste 

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LIBREVILLE, 12 septembre (AGP)-Depuis ce lundi 11 septembre, les parents d’élèves prennent  d’assaut les établissements scolaires pour procéder aux formalités administratives d’inscription et de réinscription des apprenants.

Dans l’enceinte des établissements de Libreville tels que l’école publique Martine Oulabou, ou le complexe Sainte Marie, les parents se dirigent tour à tour vers l’administration ou  les salles choisies pour les inscriptions, d’autres viennent  pour se renseigner, pendant que certains enseignants procèdent au nettoyage des salles de classe, avant le début des classes prévu le 18 septembre pour le secondaire, et le 25 septembre pour le pré-primaire et le primaire.

Pour Bismung Nziengui, enseignant de 5ème année, faisant partie du dispositif installé pour accueillir les parents à l’école publique Martine Oulabou, « la rentrée administrative est belle et bien effective. Les enseignants présents s’attèlent à recevoir les parents».

«Quand les parents viennent, ils ont juste une fiche de renseignements à remplir. Une fois les données inscrites, nous fouillons au niveau des listes des élèves et nous cochons pour réserver les places pour ceux qui sont passés ou qui ont été ajournés», a-t-il expliqué.

Par ailleurs, la majorité des établissements scolaires restent encore dans le flou en ce qui concerne la gratuité des frais de scolarité, et ont du mal à appliquer cette mesure de l’État. Notamment au sein des établissements confessionnels.

«Nous attendons que les instructions nous reviennent de la tutelle », a souligné le proviseur du collège Sainte-Marie, Jean François Metoughé.

Une situation confuse qui pousse quelques-uns d’entre eux à s’abstenir de prendre de l’argent des parents au titre des frais d’inscription, tant que tout n’est pas précis. « Il faut que les choses soient claires. Peut-être que d’ici lundi prochain les choses vont rentrer dans l’ordre», a-t-il indiqué.

Une parente d’élèves rencontrée au sein de cet établissement a relevé que les frais de scolarité s’élevaient à 160.000 Fcfa l’année passée. Elle aussi a dit attendre une communication de la tutelle pour plus de précisions sur cette question.

LNL/CBO/FE

Chancelle BIKET ONANGA

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