Mouila (sud), le 21 aout (AGP) – Le candidat indépendant aux législatives dans le deuxième siège de la commune de Mouila, Alcide Giscard Koumba, et les indépendants aux locales, Charles Mavioga dans le 1er arrondissement et Gildas Bivouli Bivouli, dans le 2ème, étaient ce dimanche au contact des populations à Mouila, dans la Douya Onoye, sollicités les suffrages des populations pour le scrutin du 26 août prochain.
Décidés à prendre les choses en main dans l’espoir d’un changement, en tant que fils de la localité, l’homme d’affaires Alcide Giscard Koumba, candidat aux législatives au deuxième siège de la commune de Mouila, Charles Mavioga, candidat indépendant aux locales dans le premier arrondissement, et le président de la plateforme « J’aime Mouila », tête de liste aux locales dans le deuxième, ont échangé avec leur électorat, ce week-end, à l’occasion d’une causerie au quartier Baleka.
«Le message que nous avons délivré aux populations du deuxième arrondissement, c’est d’être derrière leurs fils, autochtone du deuxième arrondissement. Parce que, comme vous avez constatez, les populations ont marre de se faire voler la vedette avec ceux qui viennent se servir de nous pour développer ensuite leur arrondissement. Le message est tout simplement clair, donner les consignes à nos électeurs, pour nous envoyer à l’Assemblée nationale, moi comme député et monsieur Bivouli comme maire dans le deuxième arrondissement», a indiqué Alcide Giscard Koumba, au sortir de la rencontre.
Pour le responsable de la plateforme «J’aime Mouila», qui œuvre dans l’accompagnement des jeunes et les œuvres caritatives, également tête de liste dans le deuxième arrondissement de la commune, l’heure est au changement.
«Les projets sont multiples. Déjà la réinsertion des jeunes par la formation, l’entreprenariat et surtout, l’aide sociale. Nous pouvons le constater, l’État a démissionné. Nous n’allons pas accuser la République, mais nous allons accuser les gestionnaires de la République. Nous aurons comme cheval de bataille le social et l’entreprenariat», a rassuré Gildas Bivouli Bivouli.
Nancy Tali Ibinda/ANM/HUN
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