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Le climat politique peu convivial depuis pas mal de temps dans le pays est préoccupant pour la Concertation de Jeunesse Gabonaise (CJG), un mouvement politique dirigé par Rodrigue Maïssa Nkoma.
Dans une lettre ouverte adressée le samedi 03 octobre dernier au coordonnateur général des Affaires présidentielles, Noureddin Bongo Valentin, la Concertation de la Jeunesse Gabonaise (CJG), a clairement appelée à l'Union sacrée de la jeunesse pour l'émergence autour du chef de l'État gabonais, Ali Bongo Ondimba. L'objectif est de faire chuter les démons de la division et de la haine qui gagnent de plus en plus les esprits.
La préservation de la cohésion nationale, gage de paix et de stabilité, constitue la principale préoccupation du CJG, selon son président Rodrigue Maïssa Nkoma.
Il s'agit donc pour lui de ne pas laisser ledit climat politique être éternellement empoisonné par ceux qu'il qualifie de «pseudo sauveurs de la République», qui pourtant prônent le chaos du pays par des discours haineux dans les réseaux sociaux et dans d'autres canaux de dissuasion.
Au-delà de cette persistance rétrograde, s'ajoute la question relative à la crise sanitaire mondiale qui laisse confiner les populations chez elles.
L'enlisement scrupuleux de cette crise liée au Covid-19 dans le monde en général, et au Gabon en particulier, ne permet pas aujourd'hui de conserver un système financier efficace et performant.
Et les limites de leur budget commençant sérieusement à les taper sur les nerfs, les jeunes, qui représentent une importante couche de la population, sont donc prêt à se laisser aller à tout devant «ceux qui en possèdent avec des ambitions inavouées».
C'est donc pourquoi Rodrigue Maïssa Nkoma prend son courage pour faire appréhender cette logique au coordonnateur général des Affaires présidentielles, Noureddin Bongo Valentin, afin qu'il prenne le taureau par les cornes en «réinitialisant le dialogue permanent avec les acteurs concernés, notamment la jeunesse de tous bords et toutes couches sociales».
WAN
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