Les organisations de la société civile gabonaise et les médias renforcent leurs capacités sur la sécurité numérique, à la faveur d’un atelier organisé par le Réseau des organisations libres de la Société civile pour la bonne gouvernance au Gabon (ROLBG) du 5 au 6 novembre à Libreville.
Ouvert hier vendredi à Libreville, cet atelier vise à renforcer les capacités des acteurs de la société civile gabonaise, les Organisations non gouvernementales (ONGs) et les journalistes, dans le but d’apprendre à mieux gérer les nouvelles technologies et à protéger leurs données personnelles.
En s’appuyant sur l’observation du phénomène de la cybercriminalité, il s’est agi de manière théorique, de montrer aux participants comment utiliser l’outil informatique. Pour l’expert, Narcisse Lokwa Mbunzama, cet atelier répond d’autant plus aux besoins des ONGs, des journalistes et de la société civile gabonaise que depuis l’arrivée de la pandémie à Coronavirus, beaucoup pratiquent le télétravail, et usent ainsi d’avantage d’outils technologiques.
Selon Irina Abang Obame, journaliste, « la cybersécurité est un élément qu’on doit intégrer dans la cybercriminalité. Elle nous permet de trouver les solutions lorsqu’on est face à des problèmes de cybercriminalité. Aujourd’hui, nous relevons qu’on a une très mauvaise façon d’utiliser les informations sur les réseaux sociaux. C’est à travers cet atelier que nous nous en sommes rendus compte. Cet atelier nous a montré que nous n’avons pas la bonne maîtrise de l’outil informatique« .
RNA
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