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Une image d’archives d’une famille.
La communauté internationale célèbre la famille le 15 mai de chaque année. Le thème retenu cette année est : «L’équilibre entre vie professionnelle et vie famille».
Cette journée a vu le jour dans le but d’attirer l’attention des décideurs internationaux et du grand public sur les problèmes et les besoins de la famille ainsi que les moyens efficaces d’y faire face. Pour cette journée, 3 piliers ont été retenus, à savoir : Une politique familiale de libre choix (congé parental, solutions de garde, etc.), Des médias et une opinion qui valorisent aussi bien le fait de continuer à travailler avec de jeunes enfants que de faire une pause dans sa vie professionnelle pour s’occuper d’eux et enfin, des entreprises pionnières dans le domaine de la conciliation des deux sphères notamment par le biais de la ratification de la charte de la parentalité en entreprise.
A cette occasion, à Libreville, le Chef de quartier par intérim d’Akébé-Bellevue-1, a non seulement rappelé les différentes dérives dont font face les familles, mais aussi emmener les concitoyens à mieux comprendre les contours du projet de loi modifiant le code civil gabonais et ce que prévoit la loi face aux violences conjugales.
«Les évènements qui devraient resserrer les liens entre les membres d’une même famille sont devenues de sources de tension : Les mariages, les naissances, les deuils sont désormais des occasions pour se régler les comptes entre frères et sœurs ou entre parents et beaux-parents, sans compter les sempiternels problèmes conjugaux», a déclaré, le Chef de quartier, Mme Balkissou Baba.
Pour cette dernière, il est plus que nécessaire que les textes qui réglementent l’organisation des familles, pour ne parler que de ce volet, et les procédures à suivre, en cas de violation ou de mauvaise interprétation de ces lois, soient inlassablement expliqués aux auxiliaires de commandement qui sont au contact direct et permanant avec les populations.
Loriale KOMBA MANFOUMBY
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