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Journée internationale des droits de l’Homme : Clôture des activités dans les capitales provinciales

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Le Secrétaire général du ministère de la Justice, François Mangari, a clos jeudi dernier à Libreville, les hostilités marquant la fin de la célébration de la journée des droits de l’Homme dans les capitales provinciales du Gabon en lieu et place du ministre de tutelle, Erlyne Antonela Ndembet-Damas.

Ces activités, débutées le 30 novembre dernier à Mouila (Sud du Gabon) par une session de formation à l’endroit de la chaine pénale (du policier, greffier, huissier, avocat et magistrat), et d’une audience correctionnelle spéciale, se sont poursuivies à Lambaréné (Centre) les 3 et 4 décembre dernier, avant de s’achever à Libreville le jeudi 10 décembre écoulé par une allocution du ministre de la Justice, Garde des Sceaux, Erlyne Antonela Ndembet-Damas. 

Une occasion pour le Secrétaire général de féliciter tous les acteurs qui ont œuvré à la participation de cette journée, particulièrement l’Union européenne, le PNUD, et tous les acteurs institutionnels présents sur le territoire gabonais. Saluant au passage la disponibilité du Gouverneur de l’Estuaire et l’intérêt accordé à cet évènement.

François Mangari est revenu sur les quelques lois ratifiées par le Gabon, auxquelles sont tenues à respecter tous les acteurs de la chaine pénale en matière de droit de l’Homme, le pacte multinationale relatif au droit public et politique, la prévention contre toute discrimination à l’égard des femmes, des cultures et autres textes ou traitements criminels ou inhumains.

La journée internationale des droits de l’Homme est célébrée le 10 décembre de chaque année, jour anniversaire de l’adoption en 1948 par l’Assemblée générale des Nations Unies de la Déclaration universelle des droits de l’homme. Un document fondateur qui a proclamé les droits inaliénables de chaque individu en tant qu’être humain, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d’opinion politique ou de toute autre opinion, d’origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou de toute autre situation. Cette déclaration est la première reconnaissance universelle du fait que les libertés et les droits fondamentaux sont inhérents à tout être humain, qu’ils sont inaliénables et s’appliquent également à tous, que nous sommes tous nés libres et égaux en dignité et en droits. 

Carine Mvoubou
 

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