Bac 2021 : techno et professionnels ont ouvert le bal ce lundi

Les candidats des séries technologiques et professionnelles ont commencé les épreuves du Baccalauréat 2021ce lundi 19 juillet. Occasion pour le ministre de l’Education nationale d’effectuer un  déplacement au centre d’examen du lycée technique Omar Bongo de Libreville, afin d’encourager les candidats.

Le Baccalauréat 2021 a débuté ce lundi 19 juillet au Gabon. Ce matin, 2 mille 531 candidats ont ainsi composé les épreuves du baccalauréat technique et professionnel dans la zone académique Estuaire. Plus précisément au lycée technique Omar Bongo. Ces candidats ont ouvert les festivités avec la matière de Philosophie. Épreuve abordable pour bon nombre d’entre eux, qui voient déjà leur examen en poche. « L’épreuve s’est bien passée dans l’ensemble. Elle était abordable. Je suis confiante pour le reste. Et après mon baccalauréat je compte faire des études en communication. On va terminer la journée avec l’histoire géographie« , a déballé Habiba Malongo Yeyet, une candidate du centre d’examen du lycée technique Omar Bongo. Optimisme partagé chez Brandy Koubagoy Odounga, qui pense que l’épreuve de philosophie de ce matin était à sa portée.

En visite au lycée technique Omar Bongo, le ministre de l’Education nationale, Patrick Mouguiama-Daouda, a fait le tour du propriétaire pour s’imprégner des conditions de composition, et voir si les dispositions mises en place ont été respectées. Il en est ressorti satisfait. « Le Bac se déroule comme prévu. Il n’y a pas d’incident particulier ni des absences signalées. Ayant fait le tour du centre, les dispositions sont mises en place. A l’infirmerie, seuls deux élèves ont été victimes d’un malaise. Sinon tout se passe bien pour le moment« , a confié le membre du gouvernement. La visite s’est étendue aux salles de classe, aux laboratoires, à l’nfirmerie et à l’administration.

Au niveau national, les candidats aux séries techniques et professionnelles sont au nombre de 3 mille 958. Un chiffre en baisse par rapport à l’an passé. Selon le ministère de l’Education nationale, la baisse dudit chiffre peut être en rapport à un travail minutieux effectué par le personnel, et qui a consisté à soumettre les candidats au baccalauréat à des vérifications qui ont permis de réduire les candidatures frauduleuses. L’objectif ultime étant de réduire le pourcentage d’échec.

Marielle Ilambouandzi