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Journée de l’Enfant Africain : une célébration au cœur du bien-être de l’enfant

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Libreville, 15 juin 2024 (AGP) – À l’occasion de la journée de l’Enfant Africain célébrée chaque 16 juin, le secrétaire général adjoint du ministère de la Justice, Stéphanie Lydie Mamiaka, a fait une déclaration sur Gabon Télévision, ce samedi 15 juin, au nom du ministre de tutelle, pour mettre l’accent sur la responsabilité engagée à la fois de l’Etat et des parents dans la protection de l’enfant.

À travers la célébration de cette Journée qui a pour thème cette année : «l’éducation pour tous les enfants d’Afrique: l’heure est venue», le Gouvernement de la Transition veut veiller à la réalisation de la transition intégrée des élèves sortis des écoles spécialisées pour l’enseignement général sans anicroche, conformément à l’esprit du « modèle social du handicap » consacré par la Convention relative aux droits des personnes handicapées, une approche axée sur les droits de l’homme.

À cet effet, le Gouvernement de la République a décidé d’inscrire l’ensemble des manifestations liées à cette journée sur le thème «la promotion de l’éducation inclusive compatible avec la protection des droits de l’enfant».

«Ainsi, sous les Très Hautes Instructions du président de la Transition, le Général de Brigade Brice Clotaire Oligui Nguema, le gouvernement s’engage à davantage œuvrer à promouvoir et assurer le mieux-être des enfants et à respecter ses engagements internationaux en la matière. Cela s’effectuera d’une part par l’intensification de la sensibilisation des administrations publiques en vue de la mise en œuvre des obligations conventionnelles et constitutionnelles des droits de l’enfant, plus particulièrement sur l’éducation inclusive. Et d’autre part par le renforcement des capacités opérationnelles des organisations de la société civile», a-t-il déclaré.

Des actions fortes ont été menées par l’Etat et les partenaires du système des Nations Unies, l’UNESCO, l’OMS, l’UNICEF, et l’OIM en vue d’épargner les enfants vivant des pesanteurs socio-économiques, culturels et traditionnels, par les catastrophes naturelles ou encore la faim et les handicaps multiformes.

«Nous devons donc tous conjuguer nos efforts pour faire du respect des droits de l’enfant dans notre pays, une réalité visible en mettant au centre de nos actions et de nos comportements collectifs ou individuels l’intérêt supérieur et primordial de l’enfant», a souligné SGA Stéphanie Lydie Mamiaka.

TGM/CBM/FSS

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