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LIBREVILLE, 1er fév. (AGP) – Le roi Mohammed VI n’a eu de cesse d’œuvrer à la sauvegarde du patrimoine judéo-marocain, en multipliant les actions de réhabilitation et de mise à niveau des lieux de culte, de sanctuaires, de quartiers et de cimetières.
Le souverain marocain perpétue ainsi le flambeau de son grand-père, feu Mohammed V, et de son père, feu Hassan II.
Ces multiples initiatives royales, suscitent l’admiration de la communauté internationale, ce d’autant plus qu’elles visent la promotion de la composante hébraïque de l’identité nationale, et consacrent le Maroc en tant que terre de coexistence religieuse et du vivre ensemble dans l’harmonie et la paix.
Au moment où le monde est aujourd’hui en proie aux soubresauts, au communautarisme et au repli identitaire, le Royaume, sous le leadership pondéré de du Roi Mohammed VI, s’évertue à embrasser l’universalisme, en prônant le dialogue inter-religieux, ainsi que les valeurs du vivre ensemble et d’altérité.
Dans ce cadre, le Roi a mis en place trois Institutions visant à consacrer l’affluent hébraïque en tant que composante de la culture marocaine riche de ses multiples affluents : Le Conseil national de la communauté juive marocaine (gestion des affaires de la communauté et sauvegarde du patrimoine et du rayonnement culturel du judaïsme et de ses valeurs marocaines authentiques avec des comités régionaux) ; la Commission des Juifs marocains de l’étranger (consolider les liens des juifs marocains établis à l’étranger avec leur pays d’origine) ; et la Fondation du judaïsme marocain (Promouvoir et veiller au patrimoine immatériel judéo-marocain).
L’approche du Roi Mohammed VI distingue le Maroc, qui, en ces temps de doute et de repli, offre un peu plus de discernement quand montent les clameurs de l’exclusion et que se multiplient les amalgames les plus caricaturaux qui nourrissent une culture du rejet et du déni du savoir vivre ensemble.
AK/AGP
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