Oyem, le 22 janvier 2023 (AGP) – Erreur pour tous ceux qui auront pensé que la Tropicale Amissa Bongo n’est qu’une question de vélo. Ici à Oyem, où s’ouvre, avec la ville de Bitam, la 16e édition de cette compétition internationale, il s’agit d’un parfait ménage entre le cyclisme et la culture.
C’est d’ailleurs ce dernier plan cité qui a eu le mérite d’annoncer les couleurs de cette fête sportive et de faire monter la température depuis la veille du lancement des hostilités. A travers notamment, la mise en place de ce que les autorités locales et le ministère de la Culture ont appelé »Le village artisanal de la Tropicale Amissa Bongo ».
Ce site bien aménagé a permis de garantir l’ambiance de cette première étape. De l’art culinaire à l’art musical, en passant par la danse et autres prestations, tout y était pour permettre aux visiteurs de jouir également des spécialités locales. « Je pense que c’est surtout tout ce mouvement, cette ambiance qui nous montrent que nous sommes dans quelque chose de bien plus que le sport », a expliqué J. Hervé qui dit avoir effectué le déplacement de Libreville pour profiter de la Tropicale. Preuve que sport et culture font bon ménage.
WM/FE/CEM-AGP
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