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La coupe de la solidarité, organisée par les responsables locaux de l’Union des Jeunes du Parti démocratique gabonais (UJPDG) et financée par Christel Donald Abessole Methogo, a démarré, le dimanche 8 août écoulé à Oyem, la capitale provinciale du Woleu-Ntem.
La coupe de la solidarité est organisée sous le parrainage du président du Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir), Ali Bongo Ondimba. Le coup d’envoi du tournoi a été donné dimanche dernier par Christel Donald Abessole Methogo, le principal sponsor de cette compétition, au terme des séances fédérales d’études politiques tenues le même jour par les responsables locaux de l’Union des jeunes du Parti démocratique gabonais (UJPDG).
La finale de cette coupe se jouera le 17 août prochain, dans la capitale provinciale du Woleu-Ntem.
Au total 16 équipes, venues des différents cantons et de la commune d’Oyem, sont en lice pour convoiter le trophée du vainqueur final, dont une enveloppe de 1.000.000 de F CFA. De quoi décupler l’énergie des uns et des autres. Des équipes de communautés étrangères y prennent également part. Avant le début des hostilités, M. Abessole Methogo a distribué une série de maillots à toutes les équipes en compétition.
«J’ai voulu m’inscrire dans la logique de la solidarité, de partage, prônés par le président de mon parti, Ali Bongo Ondimba et en cette période de vacances scolaires c’est également une opportunité pour occuper sainement nos jeunes frères et leur faire éviter l’oisiveté, sources de nombreux maux», a confié à la presse, Donald Christel Abessole Methogo, après son geste symbolique du coup d’envoi.
M. Abessole remettant, en différé de la fête des mères, des kits alimentaires (riz, huile, savon, etc.), à une centaine de femmes au regroupement de village Toulon- ville.
M. Abessole, en séjour dans sa localité, a également mené d’autres actions à haute portée altruistes, telles que le financement de cours de vacances gratuits à un centaine d’élèves à Oyem, la distribution, en différé de la fête des mères, de kits alimentaires (riz, huile, savon, etc.) à une centaine de femmes au regroupement de village Toulon- ville, son village natal. Là-bas, l’intéressé n’a pas caché sa joie de se retrouver parmi les siens.
«Les études qui m’ont conduit hors de mon pays et les responsabilités professionnelles ont fait que je sois moins présent parmi vous. Je suis là aujourd’hui pour vous dire que je suis des vôtres. Je n’ai jamais oublié d’où je viens et je ne vous ai jamais oubliés. Sachez donc que désormais, je serai plus souvent ici parmi vous, car il ne faut pas attendre la retraite pour venir chez soi», a-t-il expliqué.
Ernest Mvie Mendame
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