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Gabon/Port-Gentil : l’État donne 72h pour libérer les mangroves occupées illégalement

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PORT-GENTIL, 26 juin 2025 (AGP) – En mission de terrain sur les mangroves de Port-Gentil, le ministre de l’Environnement et du Climat, Mays Mouissi, accompagné du gouverneur de province, Jean-Robert Nguema Nnang, et des autorités locales, a fermement dénoncé l’occupation illégale des écosystèmes protégés et exigé leur libération sous 72h, a constaté l’Agence Gabonaise de Presse.

Des constructions précaires, dont certaines à usage d’habitation ou de latrines, ont été érigées sur les bras de mer, mettant en péril la biodiversité marine.

« Beaucoup de nos compatriotes n’hésitent pas à s’installer dans des zones protégées, en y développant des pratiques dangereuses, notamment dans les mangroves, qui sont des lieux essentiels de reproduction des poissons», a déploré le ministre.

 

Face à cette situation jugée préoccupante, un ultimatum de trois jours a été donné aux occupants illégaux pour quitter les lieux. «Passé ce délai, l’État engagera toutes les actions nécessaires pour détruire ce qu’il y à de détruire », a averti M. Mouissi, insistant sur la nécessité de restaurer l’autorité de l’État et de protéger la santé publique.

PMA/TYM/CBM/EN

Gabon/Port-Gentil : l’État donne 72h pour libérer les mangroves occupées illégalement

PORT-GENTIL, 26 juin 2025 (AGP) – En mission de terrain sur les mangroves de Port-Gentil, le ministre de l’Environnement et du Climat, Mays Mouissi, accompagné du gouverneur de province, Jean-Robert Nguema Nnang, et des autorités locales, a fermement dénoncé l’occupation illégale des écosystèmes protégés et exigé leur libération sous 72h, a constaté l’Agence Gabonaise de Presse.

Des constructions précaires, dont certaines à usage d’habitation ou de latrines, ont été érigées sur les bras de mer, mettant en péril la biodiversité marine.

« Beaucoup de nos compatriotes n’hésitent pas à s’installer dans des zones protégées, en y développant des pratiques dangereuses, notamment dans les mangroves, qui sont des lieux essentiels de reproduction des poissons», a déploré le ministre.

Face à cette situation jugée préoccupante, un ultimatum de trois jours a été donné aux occupants illégaux pour quitter les lieux. «Passé ce délai, l’État engagera toutes les actions nécessaires pour détruire ce qu’il y à de détruire », a averti M. Mouissi, insistant sur la nécessité de restaurer l’autorité de l’État et de protéger la santé publique.

PMA/TYM/CBM/EN

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