« Nous voyons dans cette nomination, une marque de confiance que le chef de l’Etat accorde, au-delà, de la personne du ministre d’Etat, à toute la province du Woleu-Ntem », a-t-il poursuivi.
Les élus et cadres de la province du Woleu-Ntem ont saisi cette occasion pour exprimer également leur remerciement au Premier ministre, Alain Claude Bilié-By-Nzé.
Aussi, ont-ils donné les raisons des remerciements au chef de l’Etat et au Premier ministre pour avoir permis à René Ndémezo’Obiang de réintégrer le gouvernement, faisant de lui, selon l’ordre protocolaire, la première personnalité du Woleu-Ntem.
«Homme politique expérimenté, rompu à la gestion des hommes et constamment habité par les vertus de générosité, de rassemblement et de tempérance, René Ndemezo’Obiang est véritablement et objectivement l’homme de la situation pour fédérer l’ensemble des filles et des fils de notre province», a rappelé le parlementaire. Et d’ajouter que : « Fin stratége et doté d’une bonne connaissance du terrain politique, nous ne doutons pas de la capacité de ce dernier à relever, en synergie avec l’ensemble des forces vives de notre province, le challenge des élections à venir dans le Woleu-Ntem ».
Rappelant que le temps est venu d’investir le terrain pour assurer une victoire au président Ali Bongo Ondimba à l’élection présidentielle de cette année, les élus et cadres du Woleu-Ntem ont demandé au ministre d’Etat Ndemezo’Obiang d’entamer dans les jours et semaines qui suivent, sa tournée annoncée dans les différentes localités de la province, afin de délivrer le message « très attendu » aux populations.
De même qu’ils appelé à jouer collectif afin d’inverser la tendance des mauvais résultats enregistrés par Woleu-Ntem lors des deux précédentes élections présidentielles.
Cette sortie intervient après la parution dans certains médias, des articles relatifs à une pétition de 900 signatures qui aurait été adressée au chef de l’Etat pour s’opposer au leadership de René Ndemezo’Obiang comme première personnalité politique de la province. Ce d’autant que selon cette pétition, le concerné devrait faire place à une nouvelle génération, la jeune.
SN/LPM
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