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En marge du sommet régional de haut niveau sur le VIH en Afrique de l’Ouest et du Centre, le ministre de la Santé, Dr. Guy-Patrick Obiang Ndong, en séjour à Dakar au Sénégal, a eu une séance de travail ce dimanche avec Patrick Brenny, directeur régional de l’ONUSIDA pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre, où il a présenté un plaidoyer pour être éligible au fonds mondial de lutte contre le SIDA, la tuberculose et le paludisme.
En prélude au Sommet régional de haut niveau sur le VIH en Afrique de l’Ouest et du Centre qui se tiendra du 31 octobre au 02 novembre 2021, à Dakar au Sénégal, le ministre de la Santé, Dr. Guy-Patrick Obiang Ndong a eu une séance de travail avec le directeur régional de l’ONUSIDA pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre. C’était en présence du ministre des Affaires sociales, Prisca Koho Nlend, du représentant résident de l’ONU sida Gabon, de l’ambassadeur du Gabon au Sénégal et du directeur du programme National de lutte contre les IST et le VIH-SIDA.
“Au cours de cette rencontre, il était question de faire le plaidoyer pour un appui aux efforts du gouvernement gabonais et surtout son éligibilité aux financements du Fonds Mondial de lutte contre le SIDA, la tuberculose et le paludisme dans un contexte sanitaire marqué par la pandémie de la Covid-19″, a indiqué le ministre gabonais de la Santé.
Selon Dr Guy Patrick Obiang Ndong, le Gabon sur l’implication personnelle du président Ali Bongo Ondimba, contribue financièrement à près de 92% à la lutte contre le VIH et ce, malgré les contraintes budgétaires liées à la pandémie de la Covid-19.
C’est fort de cela, qu’il a invité « l’ONUSIDA et les autres partenaires à tenir compte du Gabon dans les financements alloués à la lutte contre le VIH, malgré la position du pays, qui est celle d’un pays à revenu intermédiaire, tranche supérieur, a-t-il fait savoir.
Laïka Naëlle MAGOURA
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