L’Ambassadeur Haut représentant du Gabon près la République Française et Représentant permanent de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), avec pour juridiction auprès de la Principauté de Monaco, Liliane Massala, a présenté ses Lettres de Créance à S.A.S. le Prince Albert II de Monaco. C’était le jeudi 14 octobre dernier, selon un communiqué officiel de l’ambassade du Gabon en France et dont la rédaction a reçu copie ce dimanche soir.
Nommée le 3 septembre 2020 comme ambassadeur du Gabon en France, en Suisse, au Portugal ainsi que dans les principautés d’Andorre et de Monaco, Liliane Massala poursuit sa série de présentation des lettres de créance dans tous ces pays. En effet, après la France et la Principauté d’Andorre le 12 Avril dernier, la diplomate gabonaise s’est à nouveau pliée à cet exercice le jeudi 14 octobre dernier auprès de la Principauté de Monaco, où elle a été reçue par S.A.S Le Prince de Monaco.
«Le périple des créances de Madame l’Ambassadeur s’est poursuivi à Monaco cette semaine où tous les honneurs lui ont été accordés par le souverain du Rocher, conformément à la pratique protocolaire établie sur ce territoire princier», indique le communiqué de l’ambassade du Gabon en France.
Après la cérémonie de présentation des lettres de créance, les deux personnalités ont eu une rencontre privée à laquelle prenait également part le Chef de cabinet du Prince. Des échanges entre le Prince Albert II de Monaco et Liliane Massala ont tourné autour de deux sujets majeurs à savoir, les efforts déployés par les deux Etats dans la lutte contre la pandémie de Covid-19 ainsi que la détermination en plus du leadership des deux Etats dans la protection de l’environnement, de la préservation de la biodiversité et de la gestion des ressources naturelles.
« En effet, tout comme le Gabon, la Principauté de Monaco a mis en œuvre des nombreuses Conventions et Accords internationaux qu’elle a ratifiés, à l’exemple du Protocole de Kyoto, et plus récemment l’Accord de Paris. A travers ces différents Accords adossés aux recommandations du Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat, tous les gouvernements du monde sont appelés à conserver et veiller sur nos précieux écosystèmes, et nos zones sauvages, à préserver et à gérer efficacement au moins 30 % des terres et des océans de notre planète d’ici 2030. », poursuit le communiqué.
La prochaine étape de ce périple de présentation des lettres de créances dans sa juridiction aura lieu au Portugal à une date non encore définie.
Commentaires