Politique

Les préparatifs de la 2ème session ordinaire du CND au menu de l’entretien entre Ossouka Raponda et Séraphin Ndaot 

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En prélude à la tenue des travaux de la deuxième session ordinaire du Conseil national de la démocratie (CND), qui devraient se tenir le 14 octobre prochain à Libreville, le président de l’institution, Me Séraphin Ndaot a eu une séance de travail avec le Premier ministre gabonais, Rose Christiane Ossouka ce lundi 12 octobre à son cabinet de travail.

Conduite par son président, Me Séraphin Ndaot, une délégation du Conseil national de la démocratie a été reçue ce lundi 12 octobre par le Premier ministre, Rose Christiane Ossouka Raponda.

Venus féliciter cette dernière pour sa récente promotion à la tête de l’exécutif, Me Séraphin Ndaot et les siens ont également saisi l’occasion pour évoquer, avec le Chef du gouvernement, les modalités pratiques liées à l’organisation de la deuxième session ordinaire dudit Conseil, qui devrait en effet se tenir le 14 octobre prochain à Libreville.

«Nous avons souhaité voir le Premier ministre pour deux raisons, la première, c’était pour lui présenter nos civilités, car depuis sa nomination à la tête du gouvernement, nous ne l’avions pas encore rencontré. Vu qu’elle est désormais membre du Conseil, nous sommes également venus lui annoncer que nous sommes en train de préparer notre deuxième session ordinaire à laquelle prendront part tous les membres», a avoué Me Séraphin Ndaot.

Si l’organisation desdits travaux obéit à l’esprit de la loi, qui les fixe notamment au deuxième mercredi du mois d’octobre, il faut cependant souligner qu’elle reste en réalité tributaire à la mise à disposition de moyens financiers adéquats par le gouvernement.

Toutefois, au-delà des difficultés financières du moment, auxquelles l’Etat doit faire face, particulièrement au regard des conséquences multiformes causées par la crise sanitaire de la Covid-19, le président du CND a malgré cela affiché une certaine sérénité quand au respect de la date statutaire.

«Il n’est pas toujours facile d’organiser une session en raison de la conjoncture actuelle et des problèmes générés par les difficultés du moment. Il est vrai qu’on peut différer l’organisation de notre session ordinaire, mais nous souhaitons que ça se passe au mois d’octobre pour respecter l’esprit de la loi», a-t-il dit.

Désiré MENZOUGHE

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