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Lambaréné, 13 nov. (AGP)-Les partenaires sociaux issus de la plateforme syndicale dénommée ‘’Machette syndicale des travailleurs gabonais vaillants’’ ont tenu une réunion de large concertation samedi dernier, à Lambaréné dans la province du Moyen-Ogooué, pour réclamer à corps et à cri la satisfaction totale de leurs droits fondamentaux.
‘’La Machette syndicale des travailleurs gabonais vaillants’’ accentue la pression quant à leurs diverses revendications et souhaite le soutien d’un maximum de retraités dans cette noble et juste bataille.
Le désespoir gagnant de plus en plus des pensionnaires qui n’en peuvent plus d’attendre, indéfiniment le paiement de leurs pensions retraites, vient de conduire le syndicat dénommé : Machette syndicale des travailleurs gabonais vaillants (MSTGV), qui regroupe en son sein les retraités civils, militaires et ceux du secteur privé, à une large concertation à son siège provisoire.
La tension monte progressivement et il ne fait plus l’ombre d’aucun doute que la situation est potentiellement explosive, au regard de l’atmosphère qui prévaut en ce moment au sein des retraités et dont l’inquiétude est d’ailleurs palpable en milieu professionnel.
‘’Ce, d’autant plus que les travailleurs d’aujourd’hui seront les retraités de demain. Et si rien n’est fait dans le sens de l’amélioration conséquente des situations de retraités actuels, qu’en sera-t-il pour ceux de demain’’ s’est interrogé le président de la coalition, Guy Pierrot Samba.
D’où, la convocation imminente de l’ensemble des retraités de la ville du ‘’grand blanc’’, Lambaréné, tous secteurs confondus, pour réfléchir et asseoir de façon concertée, les stratégies à mettre à exécution. Ce, afin de contraindre les pouvoirs publics à payer à la fois les pensions retraite, les services rendus, les rappels mais aussi, l’arrimage au nouveau système de rémunération (NSR) mis en place en juillet 2015.
Placée sous la houlette du président, Guy Pierrot Samba et de son bureau, cette grande rencontre a rassemblé plusieurs retraités, militaires, civils ainsi que ceux du secteur privé.
Selon les responsables de ladite plate forme syndicale, ce mouvement fait suite à celui observé dernièrement à Libreville, la capitale gabonaise,
ABB/TLAM/CSAM/CEM-AGP
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