FRANCEVILLE, 15 février 2025 (AGP) – Le ministre de l’Enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de l’Innovation technologique, Marcelle Ibinga épouse Itsitsa, accompagnée de son collègue du Pétrole, Marcel Abéké, a effectué vendredi à Franceville, dans la province du Haut-Ogooué (Sud-Est du Gabon), une visite des chantiers de l’Université des Sciences Polytechniques de Masuku, lancés dans le cadre du programme PID/PIH, initié par le CTRI, a constaté un journaliste de l’Agence Gabonaise de Presse (AGP).
«Nous sommes venus, mon collègue du Pétrole et moi, vérifier l’état d’avancement des travaux qui ont été initiés par le CTRI dans le cadre du programme PID/PIH. Nous sommes tout à fait satisfaits. Les bâtiments sont déjà occupés pour ce qui est du campus, le restaurant fonctionne même s’il manque quelques équipements. Ce que nous devons retenir, c’est qu’il y a une volonté des entreprises à terminer ce chantier. Il revient maintenant à l’USTM de garder ses bâtiments dans un état de propreté. Si cela dure, c’est peut-être dû au paiement de la 3e phase de financement et cela va se faire avec la présence de mon collègue», a expliqué Marcelle Ibinga épouse Itsitsa sur une note de satisfaction.
Pour sa part, le ministre du Pétrole et du Gaz, Marcel Abéké, a déclaré : «Par rapport à la première visite avec le chef du Gouvernement, il faut reconnaître que les travaux ont beaucoup avancé et que l’entreprise adjudicataire a fait du bon travail. Et, je crois que pour nous qui sommes le bout de la chaîne des financements, on est rassuré de la destination des fonds et de l’utilisation qui en a été faite. Je suis satisfait de ce que j’ai vu. Il n’y a pas de raison que le financement de la dernière phase ne soit pas favorable. Nous allons assumer notre engagement. »
En somme, les travaux de l’USTM, selon le directeur de l’équipement, Eyi Ondo, ont été réalisés en trois phases : l’étanchéité, les travaux de second corps d’état en maçonnerie et les travaux complémentaires, ainsi que la réalisation du bâtiment de la faculté de médecine. «On peut dire que les travaux de l’USTM sont à 96% de réalisation et nous attendons le dernier financement du programme PID/PIH pour que l’entreprise vienne achever les travaux», a-t-il confié.
Profitant de cette première sortie dans la province du Haut-Ogooué, la patronne de l’Enseignement supérieur a fait d’une pierre deux coups. C’était aussi l’occasion pour elle de faire sa première prise de contact avec les responsables des entreprises adjudicataires, les responsables administratifs de l’USTM, les enseignants chercheurs (bureau du SNEC), les responsables de la MONP et enfin les responsables des étudiants (bureau de la mutuelle).
TLAM/CBO/FSS/EN/AGP
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