LIBREVILLE, 28 déc 2024 (AGP) – Le vice-président de la Transition, Joseph Owondault Berre, a répondu ce samedi à l’invitation des femmes de la Coopérative agricole d’Ekouk-Village, a appris l’AGP.
Plusieurs temps forts ont marqué cette rencontre, notamment le mot de bienvenue de la présidente de la Coopérative d’Ekouk-Village, Collette Sylvie Mbenga qui, au nom des femmes de la Bokoué, a remercié le président de la Transition, Brice Clotaire Oligui Nguema, pour avoir nommé Joseph Owondault Berre, un des leurs de la province de l’Estuaire, au poste de vice-président de la Transition. Non sans féliciter le président de la République pour avoir initié les chantiers en cours de réalisation dans leur localité.
« Il est devenu facile de quitter Libreville pour se rendre à Ekouk-Village en moins de 2 heures. Auparavant, c’était le parcours du combattant », a affirmé Colette Sylvie Mbenga.
Aussi, les femmes de la coopérative agricole d’Ekouk-Village ont-elles évoqué l’épineux problème du conflit homme-faune. Une situation préoccupante rencontrée au quotidien par ces mères de famille qui vivent du travail de la terre. Elles ont, pour terminer, réaffirmé leur attachement au président de la République, Brice Clotaire Oligui Nguema et aux membres du Comité pour la Transition et la Restauration des Institutions (CTRI). Toutes choses qu’elles ont prouvé lors du référendum du 16 novembre dernier en votant massivement pour le OUI.
Joseph Owondault Berre a pris acte des doléances, soulignant qu’il va les traduire au président de la République, avant de demander à ces braves dames de prendre une part active à l’opération de révision de la liste électorale qui va se dérouler du 2 janvier au 31 janvier prochain. Avant de prendre congé des femmes du village Ekouk, le vice-président leur a remis quelques quelques présents.

Dépôt de la gerbe de fleurs sur la tombe de feue Martine Oulabou.
Profitant de son déplacement dans la contrée, il a également déposé une gerbe de fleurs au mausolée de Martine Oulabou, enseignante, décédée le 23 mars 1992 à Libreville lors d’une marche pacifique des membres du Syndicat de l’éducation nationale (Sena).
EN/FSS/AGP
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